- La fille qui rend chéri
La fille qui rend chéri
Toi tu te dis métèque,
Tu te dis métèque, mais t’es qui ?
Toi qui veux mélanger l’envie
A la fille qui renchérit.
Toi tu te dis métèque,
Tu te dis métèque, mais t’es qui ?
Toi qui fréquentes aussi l’ennui
Du valet qui a servi
Dans des bars bi, pour des Barbies
Et chez la femme recueillie
Par l’éveilleur de nuit.
(chœur) la fille qui renchéri
Comme un écrivain, comme un indien,
(chœur) sans aile
Tu portes ta plume sur les chemins,
(chœur) Pour elle
Toi qui es là, las d’être loin
Comme un mendiant, comme un maudit,
Pour tous les mots tous les mots dits,
Dits à la fille qui renchéri.
Toi tu dis être un cas,
Un cas pas cité si souvent,
Toi qui peints pourtant sous le vent
Le poids de l’émouvant.
Toi tu dis être un cas,
Un cas allumé mais marrant,
Un vagabond extravagant
Vivant adolescent
Sans s’en sentir, sans sentiment,
Sans s’en sortir comme disent les gens
Tout en grinçant des dents.
(chœur) à la fille qui renchéri
Comme un écrivain, comme un indien,
(chœur) sans aile
Tu portes ta plume sur les chemins,
(chœur) Pour elle
Toi qui es là las d’être loin
Comme un mendiant, comme un maudit,
Pour tous les mots tous les mots dits,
Dits à la fille qui renchéri.
Toi qui a des pensées,
Toi qui a dépensé ton temps,
A panser par les mots présents
Tous ces moments manquants.
Toi tu as dépassé,
Le vrai le faux vraiment, vraiment,
T’entends des jeux de mots tentants
Comme des amusements
Pour les amants, les gens souriants
Les intrigants, et tous les partisans,
De l’émerveillement.
chœur) pour la fille qui renchéri
Comme un écrivain, comme un indien
(chœur) sans aile
Tu portes ta plume sur les chemins
(chœur) Pour elle
Toi qui es là las d’être loin
Comme un mendiant, comme un maudit
Pour tous les mots tous les mots dits
Dits à la fille qui renchéri
Toi tu te dis métèque,
Tu te dis métèque, mais t’es qui ?
Toi qui veux mélanger ta vie
A la fille qui renchérit.
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